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Septembre 2006

Les flammes avait engloutit toute la maison, le deuxième étage était inaccessible car les flammes les avait détruit. On pouvait entendre les cris de souffrance qui venait de la chambre des parents, Bonnie était là, au premier étage, elle essayé de les sauver mais c’était mission impossible, elle ne pouvait rien y faire. Un homme vêtu de un passe-montagne qui lui couvrait la tête, ainsi il pouvait cacher son identité, s’approchait de la petite fille âgée tout juste de neuf ans. Il lui tendu une main, elle aussi couverte, puis lui fit un sourire que on pouvait voire a travers de sa cagoule, les yeux rouge et pleines de larmes, Elle fit un pas en arrière en signe de négation. C’est alors que il sortit son Magnum puis visa la tête de l’enfant, sa mains sur sa gâchette il se regardait l’aire défiant, en se moment Bonnie essayait d’identifier le visage, le regard quelque chose qui pouvait aider au policier de reconnaître l’individu. Puis de un coup sec on entendit un coup de feu.

Bonnie sursauta de son lit, elle avait refait les mêmes cauchemars qu’elle faisait souvent depuis ses neuf ans a cause de la mort brutale de ses parents calciné dans leur grande maison que ils avaient au paravent. Elle regarda la radio-réveille posée sur la petite table de nuit à côte d’elle, il était deux heures et demie du matin. Il restait encore quatre heures et demie pour qu’elle se prépare pour son premier jour à la Faculté de Droit de Paris. Elle était arrivée là grâce a son brillant parcours scolaire, dont elle avait reçu mention très bien pour son baccalauréat.

Elle se leva de son lit pour aller boire un peu de lait.

- Viens, mon Doggy, viens ma belle ! L’invita Bonie en tapotant sa cuisse en signe pour l’accompagner.

La chienne se leva puis commençait à la suivre. Ils traversèrent le petit studio qu’elle avait pu louer grâce au grand héritage quelle avait reçu. Elle ouvrit son réfrigérateur Whirlpool puis prit la brique de lait à moitié plein, elle saisit le verre qu’elle avait laissée à égoutter la veille puis elle le rempli. Elle se planta juste devant la fenêtre d’où on pouvait voire un petit morceau de la tour Eiffel, et elle observa la pluie qui tapait contre les carreaux. Elle pouvait, a travers de son reflet, voire une jeune femme aux yeux d’un vert profonds, ses cheveux ressemblait a une cascade qui s’arrêtait en haut de son dos, son nez ressemblait plutôt a celui de Keira knightley, puis sa bouche épaisse a celui de Angélina Jolie, son physique faisait rêver plus d’une fille, mais pour elle cela n’était pas le plus important au monde.

Quelle magnifique vue… pensa pendant qu’elle observait Paris. C’est alors qu’elle se rappelait de ce magnifique voyage qu’elle avait vécu avec ses parents à Paris lors qu’elle avait sept ans. C’était son premier voyage en avion et puis elle avait visité pour première fois la Tour Eiffel, le Louvre, le palais de Chaillot… En plus son père lui avait appris comment patiner sur de la glace. Mais bon ceci était le bon vieux temps.

Soudain Bonnie aperçu une étoile filante, tellement belle, tellement brillant… elle adorer les admirer, d’ailleurs chaque été elle allait en voyage pour pouvoir observer la magnifique pluie d’étoile filante. C’était a ce moment où elle ferma ses yeux pour faire le vœu que elle a toujours désirait qu’il arrive, prendre sa revanche contre le cruelle assassin de ses parents. C’est alors qu’elle décida de s’asseoir sur la petite chaise sur le balcon pour profiter de cette nuit étoilé et repenser a tout ses merveilleux souvenirs.

Meeeeec, meeeec, Bonnie se leva d’un seule bon, elle était encore sur son balcon, sur la chaise où elle s’était assise cela fait quelque heures, mais la Paris s’était bien et belle réveille, les bouchons habituelle de la capitale commençait à apparaître.

Et merde…, pensa lors qu’elle avait découvert quelle heure il était, sa radio-réveille indiquait 6 :30h elle n’avait sûrement pas entendue son alarme, il lui restait à peine trente minutes pour de doucher, habiller, se maquiller puis aller jusqu'à la fac.

Elle courra jusqu’à la douche, se doucha en cinq minutes chrono, s’enfila d’un seule trait ses affaire quelle prit sans même regarder si les couleurs allait avec le reste, se sécha les cheveux puis se maquilla le plus rapidement et mieux possible. Il lui restait encore quinze minutes, le temps juste pour arriver a l’université. Mais juste avant de prendre son casque elle prit la pomme qui était dans le bol avec tous les autres fruits, en pensant qu’elle ne pouvait pas travailler avec l’estomac vide, depuis l’expérience qu’il lui était arrivé en 3eme, chaque jour elle allait au collège sans même prendre son petit encas jusqu’au jour ou elle s’était évanoui en de biologie a cause de son manquait de sucre.

Elle dessandait les marche de trois en trois pour aller plus vite puis arriva au parking de l’immeuble, se parking crollait de Coccinelles, petites voitures sans permis… tous a seconde main et le style de véhicules que les jeunes universitaires avait l’habitude d’acheter pour se déplacer avec facilité. Elle se s’enfila son casque puis monta sur sa Vespa, elle sortit de l’immeuble puis roula a toute vitesse, en risquant de se faire écraser par ses bolides parisien qu’elle trouvait trop chic, mais surtout trop polluant.

Il lui restait a peine quatre minutes pour accéder a l’immeuble où on lui avait indiquait qu’elle devait se rendre, elle courut le plus rapidement possible, certes elle bousculait tous les jeunes étudiants, mais elle voulait a tout pris arriver a l’heure. Quant d’un seule coup elle se choqua contre un homme qui devait avoir trente-huit, quarante ans, mais pas plus, cette homme, elle l’avait déjà vue quelque part, mais où ? Quant ses regards c’était croisé elle avait la sensation de le connaître depuis toute sa vie, il lui inspiré confiance…

-Excusait-moi, ça va ? Mais pourquoi vous courait tellement vite ? Ici on est dans une faculté, pas sur une autoroute.

- Oui, oui ça va, marmonnai-je.

- Vous cherchait certainement la classe 281 ?, demman-t’il d’un air évident.

- Oui... Comment vous le savait ?, comment savait-il ou j’allais, j’avais comme même pas une pancarte ou il disait où j’allais comme même, se demanda Bonnie

- Oh, mais c’est facile, vous ne savait pas où vous allez, et alors cela veux dire que c’est votre première année ici, alors ceux de la première année doive aller en salle 281, je le sais puisque c’est moi qui vous aiderai durant toute cette année, je serais une sorte de prof principal.

Elle le regarda avec un air soucieux, certes il lui inspirait confiance ce type, mais à la fois, elle avait ce sentiment de trahison, comme si elle le connaissait depuis toute sa vie.

Soudainement Bonnie descendit de son nuage et se rappela qu’elle allait être en retard si elle ne se dépêchait pas. Elle prit ses jambes à son cou puis prit direction classe 281.

Après trois minutes de sprint elle arriva a sa classe ouvrit la porte, puis, silence complet, tout le monde s’avait tue a la seconde même qu’elle avait franchît la porte. Et c’est quant elle aperçu, lui, le mystérieux professeur qu’elle venait juste de rencontrer, comment pouvait-il arriver avant elle si cela faisait à peine trois minutes elle avait fait sa rencontre.

- Alors, vous vous êtes encore perdue ? Ne vous inquiéter pas, vous n’êtes pas la premier à arriver en retard le premier jour, mais que cela ne se reproduise plus, compris ?

Elle le dévisagea sans se soucier de que toute la classe la regardait puis marmonna un Compris, avant de s’asseoir prés de Richard, son meilleur ami depuis l’enfance, qui lui avait précieusement gardé sa place.

Chapitre I

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